Des chercheurs du Département des sciences de la Terre de l'Université d'Oxford ont montré que l'altération des roches de l'Arctique canadien s'accélère à mesure que les températures augmentent, déclenchant une boucle de rétroaction positive qui libérera de plus en plus de CO 2 dans l'atmosphère. Les résultats ont été publiés dans la revue Science Advances. Pour les régions sensibles telles que l'Arctique, où les températures de l'air à la surface se réchauffent près de quatre fois plus vite que la moyenne mondiale, il est particulièrement important de comprendre la contribution potentielle du CO 2 atmosphérique provenant des intempéries. (Université d'Oxford, plus d'informations sur phys.org)