La lumière est constituée de paquets d’énergie appelés photons. Des molécules comme le CO 2 ils ne peuvent les absorber que lorsque les paquets ont exactement la bonne quantité d’énergie pour déplacer la molécule dans un autre état mécanique quantique. Le dioxyde de carbone se trouve généralement dans son « état fondamental », où ses trois atomes forment une ligne avec l’atome de carbone au centre, à égale distance des autres. Une molécule a également des états « excités » dans lesquels ses atomes ondulent ou vacillent. Un photon de lumière de 15 microns contient l’énergie exacte nécessaire pour faire tourner un atome de carbone autour d’un point central dans une sorte de mouvement de cerceau. Les climatologues ont longtemps imputé cette situation de hula-hoop à l’effet de serre, mais – comme l’a émis l’hypothèse d’Ångström – l’effet nécessite une quantité d’énergie trop précise, ont découvert Wordsworth et son équipe. La condition du hula-hoop ne peut pas expliquer le déclin relativement lent des taux d’absorption des photons au-delà de 15 microns, elle ne peut donc pas expliquer à elle seule le changement climatique. (JOSEPH HOWLETT, plus sur filaire.com)